L'abeille en danger
L'abeille en danger de disparition, et par ricochet l'humanité aussi
L’ABEILLE EN DANGER
Les abeilles sont victimes d’agressions extérieures
– Les abeilles en danger sont, bien évidemment, victimes de l’utilisation des pesticides et autres traitements.
– Les abeilles en danger sont également victimes de l’appauvrissement de la biodiversité, dû à une agriculture intensive et à la monoculture. L’abeille, aujourd’hui, a de plus en plus de mal à diversifier son alimentation. Moins bien nourries donc plus fragiles, les abeilles d’hiver résistent moins aux maladies et ont du mal, à la sortie de l’hiver, à vivre jusqu’à l’arrivée des nouvelles abeilles du printemps. De ce fait, de nombreuses colonies disparaissent à cette période charnière.
Les abeilles sont victimes de pratiques apicoles abusives
– Les abeilles sont victimes de l’utilisation massive par certains apiculteurs de souches d’abeilles, originaires de zones climatiques plus clémentes (méditerranéenne ou plus rare africaine), ou issues de croisements hybrides. Elles ont une douceur et une productivité
que ne possèderait pas l’abeille noire, mais libres de se croiser avec nos abeilles locales. Elles développent des caractères génétiques d’hyper-agressivité et sont incapables de ralentir leur activité en hiver. Elles meurent alors de faim et de froid.
– Les abeilles sont également victimes du comportement de certains apiculteurs qui, par la conduite de leurs ruchers, affaiblissent les abeilles. Le “nourrissement spéculatif” qui consiste à
récupérer tout le miel et à nourrir l’essaim avec du glucose : cela a pour effet d’affaiblir la colonie et de la rendre sujette aux maladies. C’est pourquoi les traitements sont de plus en plus nombreux, créant un appauvrissement des résistances naturelles des abeilles.
Cette liste de mauvaises pratiques n’est malheureusement pas exhaustive, les exemples sont encore nombreux comme :
– L’essaimage des abeilles où 50% d’entre elles périssent…
– Des ruches productives trop grandes où l’on voit des abeilles mortes de faim ou de froid avec pourtant de la nourriture présente dans la ruche.
– La pollinisation de mono-culture …
Si nous ne faisons rien concrètement, nous disparaîtrons avant elles !
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